Margot Couttet est née en 1995 à Annecy (Haute-Savoie). Elle est la fille cadette de Pascale et Bruno Couttet. À huit ans, ses parents lui offre sa première guitare et son père lui apprend ses premiers accords sur la chanson La poupée qui fait non de Michel Polnareff et dès lors, lui transmet son savoir guitaristique.

À dix-neuf ans, elle choisie de consacré deux années entières à la musique afin, d’une part, de perfectionner son jeu au contact d’un autre professeur que Bruno, et d’autre part, afin de suivre des cours de piano avec un professeur particulier.

En 2012, elle fait ses premiers pas sur scène en intégrant le groupe √4, avec lequel elle donnera plusieurs concerts. L’année suivante, elle encourage son père à jouer son propre répertoire et c’est ainsi qu’ensemble, ils fondent le groupe L.O. et donne en duo un premier et unique concert sur une petite scène annécienne.

Après une pause musicale, dont le but est de passer une licence langues et civilisation (anglais et italien), puis un CAP petite enfance, tous deux couronnés de succès ; le projet L.O. reprend début 2020 avec l’élaboration de LOVE… Pour Margot, c’est une nouvelle expérience musicale. La préparation des sessions studio avec son père lui permet d’acquérir un solide savoir-faire dans la transcription des parties guitare et dans l’écriture des partitions des instruments intégrés aux arrangements des chansons. L’expérience du studio l’ouvre au monde du son (prise de son, mixage, mastering,…) et de la production d’un album.

Bruno Arts¹ est un artiste franco-suisse autodidacte né en 1964 à Annecy (Haute-Savoie). Il est un descendant des Seigneurs de Menthon et le petit-fils de Couttet Champion (Alfred Couttet | 1889-1974), pionnier du ski, légende de l’alpinisme et premier champion de France (civil) de ski en 1909 à vingt ans (le tout premier champion de France en 1908 était un militaire), titre qu’il remporta encore deux fois en 1913 puis en 1914. En 1909, il réalisa également le record de vitesse Chamonix / sommet du Mont-Blanc / Chamonix en moins de treize heures. Record qui ne fut battu que soixante ans plus tard ! Guide aux plus de quarante premières, Couttet Champion créa la première école de ski gratuite pour les enfants de Chamonix. Cette véritable pépinière de moniteurs de ski et de champions tels que Régis Charlet ou James Couttet, est aujourd’hui considérée comme étant la matrice des Écoles Françaises de Ski qui furent crées quelques années plus tard par Léo Lagrange, alors ministre des sports. Il fonda également l'école d'escalade de Chamonix au rocher des Gaillands, parois-école qui a vue passer des générations d’aspirants guides de Haute-Montagne.

Depuis l’âge de douze ans, Bruno Arts s’exprime à travers le dessin. C’est à cet âge qu’il réalise ses premières planches de bande dessinée d’après des personnages de Gotlib et Frankin.

À treize ans, il plaque ses premiers accords de guitare sur la chanson Sacrée Bouteille de Graeme Allwright grâce à Paul Colombo, son professeur d'anglais de quatrième au collège des Balmettes (Annecy), qui passionné par les chansons de Dylan, Graeme Allwright, Cat Stevens, Simon & Garfunkel,… en enseigne les textes (Blowin’ in the wind, My Lady d’Arbanville, The sound of silence,…) durant ses cours en s'accompagnant à la guitare. Devant l'engouement de ses élèves, il créa un petit club guitare dans l'enceinte du collège. Bruno s'y rendra et y suivra assidument les enseignements de son professeur d'anglais guitariste.

Gisèle Feydel, son professeur de français de seconde au lycée Gabriel Fauré (Annecy), lui transmet le goût de la poésie. C’est ainsi qu’à seize ans, il écrivit ses premiers poèmes. Certains seront publiés en 1994 dans son premier recueil intitulé SANS TITRE (Arthur’R éditions).

À dix-sept ans, il s'ouvre à de nouvelles disciplines : peinture, sculpture, photo.

En 2005 et 2007, il écrit, met en scène et interprète deux spectacles de poésie, musique et chanson : La vie d’un enfant de la Terre (avec William Garcin | violoniste soliste) et L'enfant de la Terre et l'Amour (avec Pascal Gallet | pianiste soliste) et fait ainsi ses premiers pas sur scène.

En 2012, avec Edouard Guêt, il co-fonde le groupe √4 | www.racinede4.com, et cosigne la musique de Sugar Bonbon, un premier album de chansons métissées enregistrées fin 2011 (Afrorock | Reggae | Rock | World music). Bruno est le guitariste lead du groupe et ses guitares mélangent leurs accents Rock/Blues anglo-américains et Reggae, aux couleurs des rythmes et mélodies de l’Afrique de l'Ouest qu’Édouard emmène avec la bonne humeur de sa guitare, et porte avec sa voix noire qui sonne comme un hommage à ses glorieux aînés. À sa sortie, l’album a reçu un véritable succès d’estime et a été chroniqué par les presses françaises, belges et ivoiriennes qui en firent unanimement une très belle critique. L’album fut notamment sélectionné par le magazine Rock&Folk (N° 538 - juin 2012) parmi soixante-deux nouveautés du circuit indé, afin de figurer dans sa rubrique Qualité France. Mais comme nul n’est prophète en son pays, c’est aux États-Unis, au Canada et en Australie que Sugar Bonbon enregistre par centaines de milliers les écoutes ; et les témoignages enthousiastes et admiratifs des fans remplissent les pages du livre d’or du groupe accessible via son site internet.

Ainsi, après onze recueils de poèmes, un roman, une bande dessinée, de nombreuses expositions de peinture en France et à l’étranger (États-Unis, Chine, Allemagne, Angleterre,…), vous tenez dans vos mains ce livre-album comprenant le douzième recueil de poèmes de Bruno Arts, ainsi que le premier opus musical de son groupe L.O.

Biographie complète ici.
1 - Bruno Arts (avec ses éléments graphiques associés) est une marque déposée de Bruno Couttet depuis 1994.

William Garcin est né en 1950 à Annecy (Haute-Savoie) et c’est non loin de là à Mûres, qu’à cinq ans, il commença l’apprentissage du violon sous le regard bienveillant de son professeur Karl Orth (1890-1982). Il poursuivit ensuite son apprentissage au conservatoire de musique de Genève dans la classe de maître Corrado Romano (disciple des légendaires Carl Flesh et Georges Enesco) où il obtint un prix de virtuosité.

Très vite William Garcin exerça ses talents de soliste et de concertiste auprès de nombreux orchestres français et suisses, et travailla en étroite collaboration avec des personnalités telles qu’Emmanuel Krivine, Armin Jordan, Michel Corboz, Paul Tortelier, Maurice André, Claude Bolling, François-René Duchâble,…

Ouverts à tous les styles musicaux, il se passionna pour la musique Tzigane qu’il alla étudier directement auprès de musiciens d’Europe centrale, et c’est ainsi qu’il créa son quatuor Magie Tzigane (1979). L’année suivante, il fonda l’Orchestre des Pays de Savoie, dont il fut le violon solo sous la direction de Patrice Fontanarosa, puis de Tibor Varga.

En 2011, il fit une apparition sur deux titres de l’album Sugar Bonbon (√4).

Après plus de 65 ans de carrière, pour William Garcin, jouer du violon c’est faire un voyage dans la sixième dimension (la musique) à travers ses rythmes et ses couleurs afin de vivre en harmonie dans l’infinie beauté de l’émotion.

Éric Bailles a participé à de nombreux projets au sein de groupes locaux et il est l’un des artisans du succès de Sugar Bonbon (√4) par son apport musical, mais aussi par son savoir-faire d'ingénieur son et par sa bonne humeur communicative.

Depuis 1986, il peaufine son art par une présence ininterrompue sur les scènes savoyardes et genevoises.

Il partage également son talent en studio, soit en qualité de bassiste de session pour tous projets d'enregistrements nécessitant son expérience et son jeu, soit en qualité de programmateur informatique et ingénieur du son. Il a notamment fait le son et des enregistrements live pour Didier Lockwood (Magma) et son frère Francis, ou encore pour Richard Galliano.

Jérémie Maxit a commencé la percussion à l’âge de 8 ans. Il obtient un DEM de percussion au CRR d’Annecy puis de Noisiel (93). Après un cycle d’études supérieurs à la HEM de Genève de 2003 à 2008, il obtient un diplôme de concert et un diplôme de pédagogie (équivalent master) ainsi qu’un post-grade de musique de chambre en quatuor de percussion.

Il enseigne la percussion et la batterie depuis 2000. Actuellement, il enseigne dans à l’école d’Annecy-le-Vieux, à l’EPM de Cran-Gevrier et au CPML de Saint-Jorioz.

En parallèle de son activité d’enseignant, Jérémie Maxit se produit régulièrement en concert : en trio jazz avec Marc Meyer et Arnaud Fillion, en musiques actuelles avec le groupe de post hardcore Nerv, et avec différentes formations contemporaines, notamment avec l’association Eklekto à Genève.